Secteur très varié – arts de la table, décoration, vêtements, boissons spiritueuses, parfums, bijoux, maroquinerie, confiserie -, l’industrie du luxe soutenue par le tourisme « est à contrecourant de la crise » explique la députée Frédérique Massat qui présidait cette audition. Sur le créneau, la France arrive même en tête avec notamment trois acteurs au sein du top 10 des entreprises du luxe, où le groupe LVMH, avec un chiffre d’affaires de 21 milliards d’euros occupe la première place. Quant au tissu d’entreprises artisanales, qui fournit de grandes maisons de luxe, il « conserve une bonne santé économique et ne souffre pas des délocalisations ». C’est la consommation des pays émergents qui permet aujourd’hui au secteur du luxe de résister à la crise.

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