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Un contrôle parlementaire du Renseignement utile et nécessaire

Par Alain Bauer, Professeur de criminologie au Conservatoire National des Arts et Métiers, New York et Shanghai*

Il y a trente ans déjà, Michel Rocard, alors Premier ministre, et l’un des rares à s’intéresser au renseignement comme outil de puissance et pas seulement comme dispositif de recueil de bruissements d’alcôve, confiait au préfet Rémy Pautrat, ancien directeur de la DST, la mission de repenser le renseignement, son efficacité, son contrôle.

 

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