Ceux-ci estiment qu'il s'agit d'une décision raisonnable de la part du Gouvernement, compte tenu des trop grandes incertitudes que cette réforme suscitait avec l'extension en cours des périmètres intercommunaux, l'application de la loi Notre, et surtout dans le contexte de baisse continue des dotations de l'État aux collectivités locales. Outre un communiqué commun des associations représentatives d'élus diffusé le 27 octobre dernier, cette position a été maintes fois réaffirmée par Villes de France, que ce soit lors de rencontres institutionnelles, ou bien à l'occasion du Comité des finances locales, par le biais de Jean-Francois Debat, et de Jacques Lamblin, député-maire de Lunéville.
Article complet payant. Vous pouvez l'acheter en CLIQUANT ICI