Une minute de silence qui a fait grand bruit. Après les tragiques événements de janvier dernier, il a été décidé dans la précipitation et avec une certaine improvisation et impréparation, qu’une minute de silence serait observée dans tous les écoles de France en solidarité aux victimes des attentats de Charlie Hebdo. Une intention louable. Or, les incidents qui ont émaillé cette minute de silence et dont le nombre n’a pas été clairement quantifié – auditionnée, la ministre de l’Education a laconiquement répondu qu’elle avait été avertie « de 200 incidents », mais qu’elle ne pouvait pas « affirmer qu’il n’y en a pas eu plus » (1) -, ont été le révélateur d’un « mal-être diffus assez généralisé au sein de l’Education national » écrit Jacques Grosperrin (LR, Doubs).
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