On a senti que le seuil de tolérance fiscale n’était plus le même. Les Français n’en avaient plus pour leur argent” Irène Grenet, le visage altier encadré d’épais cheveux noirs, revient sur sa période dans la plus haute tour de Bercy de 2012 à 2014.
« Récemment, j’étais en Suède : les taxes y sont importantes, mais les services en contrepartie aussi. Le pacte fiscal tient.
Pourquoi n’y arrive-t-on pas en France ? »
Si elle reconnaît des erreurs dans la communication, la jeune femme ne veut pas encore tirer de bilan des réformes fiscales à l’heure où l’on parle de rebattre le système avec une taxation à la source : « on verra au bout des cinq ans, tout a été séquencé par François Hollande, ne l’oublions pas », souffle-t-elle, peu encline à se livrer au droit d’inventaire.
Article complet payant. Vous pouvez l'acheter en CLIQUANT ICI